Un premier roman, une nouvelle aventure : écrire, partager, continuer

Il y a un peu plus d'un an, Le silence des mouettes rieuses voyait le jour. Mon premier roman, un thriller psychologique où se côtoient culpabilité, mensonges et vérité enfouie, a trouvé ses lecteurs. Vos messages, vos regards, vos retours m’ont profondément marquée : chaque lecture est devenue un écho inattendu à mes propres mots.

Mais un livre n’est jamais une fin. Ce n'est que le début. Aujourd’hui, j’ai envie de vous ouvrir un nouvel espace : celui des coulisses de mon écriture.

Le silence des mouettes rieuses, une aventure qui continue

Même publié, un roman continue de vivre. Grâce à vous, Le silence des mouettes rieuses poursuit son chemin : sur les plateformes de lecture, dans des clubs de lecteurs, bientôt dans des salons littéraires où j’aurai la joie de vous rencontrer. Chaque échange, chaque dédicace nourrit cette aventure collective : l’histoire ne m’appartient plus, elle vous appartient désormais.

Un nouveau projet, Une enfance ordinaire

Pendant que Le silence des mouettes rieuses suit sa route, une autre histoire se profile. Elle s’intitule Une enfance ordinaire. C’est un roman au croisement de l’intime et du philosophique, où les notions de bien, de mal et de justice s’entrelacent. Ce récit questionne la mémoire traumatique, les silences, et les cicatrices invisibles qui façonnent nos vies. Je partagerai ici, dans ce blog, les coulisses d'écriture : mes inspirations, mes doutes, mes découvertes.

Pourquoi ce blog ?

Ce blog est né d’un désir simple : prolonger le lien. Au-delà des livres publiés, je souhaite échanger avec vous sur ce qui nourrit mes histoires — mes voyages, mes lectures, les rencontres et les questionnements qui traversent mes personnages et, parfois, ma propre vie.

Un roman s’écrit seul, mais il vit à travers ses lecteurs. Ce blog sera notre espace commun, un lieu pour dialoguer autour des mots, des histoires, et de ce qu’elles révèlent en chacun de nous.

➡️ Et vous ? Avez-vous lu Le silence des mouettes rieuses* ? Qu’avez-vous ressenti ? J’aimerais beaucoup lire vos impressions en commentaire — ou, si vous préférez, écrivez- moi directement. Vos retours nourrissent la suite de mon chemin d’écriture.*